N’ayez pas honte de ressentir parfois un grand désespoir. Cela arrive a beaucoup de gens, par contre il est délicat d’en parler socialement.

J’ai suivi une formation d’accompagnement à SOS suicide en 1994. J’y ai travaillé un an.

J’ai compris l’importance que ça avait de pouvoir parler librement de ses pensées les plus complexes et parfois effrayantes.

Par une écoute bienveillante et emphatique, la personne en souffrance pouvait revoir un peu de lumière dans son tunnel.

Je peux vous apporter de l’empathie dans votre chagrin, une écoute sans jugement. La consolation est le début du soulagement et du retour peut être de l’espoir. Il est bon de sortir de la solitude que peut induire la honte ou la gêne d’avoir des pensées sombre.